Les biens immobiliers vendus occupés attirent des investisseurs de plus en plus jeunes.
Le digital ouvre les portes de l'investissement locatif ancien à une nouvelle génération d’investisseurs et bouleverse les comportements. Il y a encore quelques années, investir dans l'immobilier s’envisageait, majoritairement, après l'achat de son logement ou tout du moins, après le remboursement de la majeure partie du prêt contracté pour l'achat de sa résidence principale.
Aujourd'hui, on constate un réel engouement pour l'investissement locatif ancien de la part d'investisseurs de plus en plus jeunes. A cela plusieurs raisons, la révolution digitale, les changements de comportements d'utilisateurs et une information abondante sur les opportunités de marché.
La révolution digitale.
On peut qualifier, la génération des vingt cinq trente cinq ans de première génération digitale. Aucun retenue, pour cette génération, dans l’utilisation des nouveaux outils et la découverte des possibilités qui en découlent.
Le phénomène Airbnb met dans la lumière, sous une forme plus ludique et conviviale, l’investissement locatif dans l’ancien. Car au fond, il n’y a rien de déjà connu, on a une relation économique entre un propriétaire et un locataire qui se concrétise par un loyer payé pour la mise à disposition de tout ou partie d’un bien.
Avec cette plateforme, l’investissement immobilier dans l’ancien a trouvé son meilleur support promotionel pour toucher une génération plus jeune.
D’autre part le digital rend l’offre des biens immobiliers anciens déjà loués jusque là, réservé à des « initiés », très facilement visible et accessible bien au delà de son lieu de résidence.
Du coup, pour beaucoup de jeunes actifs, il n’y a qu’un pas à franchir pour devenir investisseur dans l’immobilier de façon beaucoup plus ludique. Ces nouveaux investisseurs comprennent vite et vont vite, finalement à la vitesse du digital !
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Changement de comportement des nouveaux investisseurs.
La révolution digitale impacte également les comportements des investisseurs dans l’immobilier, jusqu’ici plutôt conservateur. Pour cette génération investir dans l’immobilier constitue une solution alternative à l’acquisition de son logement et présente de nombreux avantages avec plus de souplesse et moins de contrainte.
Etre locataire et investisseur dans l’immobilier locatif ancien, permet de s’affranchir de l’achat de sa résidence principale devenu inaccessible dans les grandes agglomérations, sans renoncer à son double choix, lieu de vie et construction de patrimoine.
Locataire et investisseur, conduit à préserver sa mobilité professionnelle. Dissocier l’acquisition de son logement et l’investissement, est la meilleure façon de sécuriser son avenir très jeune, face aux parcours et aux aléas de la vie professionnelle ou personnelle, heureux ou malheureux.
Le rôle joué par les outils digitaux (simulateur de prêt, projection de durée d’investissement à partir de ses capacités financières, tutoriels de formation…) est efficace dans les choix de stratégies d’épargnes. Par exemple, les services proposés sur internet permettent de comparer, en cas de revente prématurée, l’achat de sa résidence principale avec un prêt, sur vingt ans ou plus, à des coûts d’utilisation en location.
Le digital donne l’accès à des investissements très divers et peu visibles auparavant. Parmi eux l’offre de biens occupés et destinés à un investissement sécurisé et productif de revenus immédiats.
Le digital ouvre, également, des espaces collaboratifs et des solutions nouvelles pour investir collectivement, notament en crowdfunding.
Tous ce nouveaux services nés ou en construction, comme en témoigne le succès rencontré par le salon Rent, salon des nouvelles technologiées liées à l’immobilier, attirent les professionnels et les investisseurs de plus en plus jeunes.
L’information véhiculée par le web.
Le changement, le plus remarquable, réside dans la promotion de l’investissement locatif immobilier auprès des jeunes actifs, par les plateformes collaboratives. Les réseaux sociaux, les blogs et plus largement la planète web sont les nouvelles vitrines des success story immobilières. Le net révèle à tous les actifs qu’il n’y a pas de « chasse gardée » et qu’il ne faut pas être nécessairement riche pour investir dans l’immobilier ancien.
La révolution de l’information digitale concernant l’immobilier se mesure par son influence sur ses principaux bénéficiares et utilisateurs qui sont, au fil des années, là aussi de plus en plus jeunes et nombreux.
La mise en avant des opportunités de marché accessibles par l’utilisation des leviers de l’investissement locatif, prêt, taux d’intérêt, loyers à percevoir est surabondante. En parallèle, les inquiétudes sur les retraites, les périodes d’inactivité, les coûts grandissant pour l’éducation, la santé, la prévoyance ou vivre décement sont aussi à la une. La conjugaison de ces deux pans de l’information, peurs et opportunités, touche les jeunes actifs et les incite à aller vers une épargne de précaution.
Dans ce moment, il n’est pas étonnant que la « Pierre » garde toute son attractivité.
Pour preuve en France en 2013, on dénombrait déjà, sur 2 143 000 propriétaires bailleurs, 18% ayant des revenus en dessous du revenu médian de la population globale (31 900 €)*.
L’acquisition de biens occupés est une excellente manière d’épargner et de constituer un patrimoine, il manquait des outils pour rendre fluide ce marché et mettre en avant tous ses atouts, le numérique est certainement la clé principale de ses nouveaux succès auprès des jeunes actifs.
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